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Sébastien Simon face à une avarie majeure dans le Vendée Globe

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Image d’Illustration

Le skipper vendéen Sébastien Simon a subi un coup dur lors du week-end des 7 et 8 décembre. Une avarie importante a frappé son bateau Groupe Dubreuil, avec la rupture de son foil tribord. Malgré ce revers, le navigateur continue la course et bénéficie d’un large soutien.

La perte du foil, un coup dur technique

Selon France Bleu, après un mois en mer, Sébastien Simon a vu son foil tribord céder dans la nuit de samedi à dimanche. Cet élément essentiel, qui permet au bateau de gagner en vitesse en le faisant partiellement « décoller », est désormais hors service. Bien que cette rupture n’ait entraîné aucun dégât collatéral, elle risque d’impacter les performances du skipper, notamment en termes de vitesse.

Jusqu’ici positionné à la deuxième place derrière le leader Charlie Dalin, le Vendéen doit désormais composer avec cet handicap majeur. Une situation qui complique ses ambitions mais ne met pas fin à son aventure.

Un moral mis à l’épreuve

Ce coup dur a naturellement affecté le moral du skipper, comme l’a confié Paul-Henri Dubreuil, PDG du Groupe Dubreuil, principal sponsor de Sébastien Simon. « On ne vous cache pas qu’il a eu un petit peu de blues après l’avarie »,a-t-il expliqué.

Pour lui remonter le moral, le soutien s’est rapidement organisé au sein du groupe sponsor : « Tous les fils Whatsapp du groupe ont été activés. Les salariés passionnés de voile lui ont envoyé des petits messages. Il a dû en recevoir quelques centaines », a ajouté Paul-Henri Dubreuil, tout en précisant que l’essentiel reste la santé de Sébastien Simon : « C’est le principal pour nous. »

La résilience comme moteur

Malgré la déception, le skipper fait preuve d’une détermination exemplaire, saluée par ses soutiens. « Il ne visera peut-être plus les premières places, mais on espère bien qu’il pourra finir sa course jusqu’aux Sables-d’Olonne », a déclaré Paul-Henri Dubreuil.

Le PDG a également rendu hommage à l’esprit combatif du marin : « Nous sommes tous admiratifs de sa résilience, de son engagement à l’extrême et de sa capacité à se dépasser. »

Une course loin d’être terminée

Malgré l’avarie, Sébastien Simon continue de naviguer et reste dans la compétition. Si le podium semble désormais hors de portée, sa détermination à boucler ce tour du monde demeure intacte.

Le skipper peut compter sur le soutien inconditionnel de ses proches, de son équipe et de nombreux passionnés qui saluent son courage face à l’adversité. Le Vendée Globe est bien plus qu’une simple compétition : c’est une épreuve où l’endurance mentale et la force de caractère prennent tout leur sens.

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